Le dodo était trop gros pour voler, trop maladroit pour voltiger, trop naïf pour survivre. Disparu au XVIIe siècle, à l'arrivée des Européens sur l'île Maurice, il refait son apparition dans ce doux spectacle.
Au milieu d'un chapiteau, au rythme de la contrebasse et du violon, les acrobates font preuve d'inventivité pour s'élancer ensemble.
S'imaginant en dodos, ils cherchent à s'envoler. Main à main, voltige, anneaux chinois, les voilà qu'ils défient joyeusement les lois
de la gravité. Au sol, les guitares deviennent leurs perchoirs. Lancés, écrasés, empilés, escaladés, les artistes transforment ces
instruments de musique en agrès.